Main Square festival , vivez la deuxième journée en live
17 h 30
Il est 17 h 30. Tandis que Mass Hysteria achève presque d’avoir mis sur la Main Stage, il faut actuellement compter plus d’une heure pour accéder au site du Main Square Festival d’Arras. La « faute » à des fouilles et des palpations, aussi sommaires que nécessaires, qui prennent plus de temps qu’à l’accoutumée. La sécurité a un prix. Mais la foule s’impatiente… Lire ici.
17 h 09
Mass Hysteria allume la mèche sur la grande scène. Du gros son !
Pendant ce temps, cela reste calme sur la terrasse surplombant la citadelle, espace pas encore bien identifié par les festivaliers. Et pourtant, il y a de quoi se restaurer tranquillement, et avec de la qualité puisque de grands chefs étoilés nordistes se succèdent pour concocter des bons petits plats. Agneau grillé, salade croquante, burger sucré et son coulis de fraise. Miam ! Et c’est 12 euros, un peu plus cher qu’un mauvais sandwich au Main square.
16 h 30
Pour les demoiselles qui souhaiteraient se faire les ongles ou se maquiller, direction le Beauty truck situé près de la porte royale. Mais attention, ce n’est pas gratuit. Comptez 5 euros pour la manucure ou le maquillage et 3 euros pour le tattoo.
15 h 50.
C’est parti sur la scène principale avec le groupe rock Lonely the Brave. Quatre gars qui montrent direct les biscotos. Ca tape fort à la batterie, grosses guitares en liberté et chanteur à casquette aussi concentré et torturé que furieusement lyrique. Les Anglais jouent en mode bulldozer. Pas de la dentelle mais une façon plutôt efficace de lancer les hostilités et de réveiller tout le monde. Ah oui, sinon’ il fait BEAU. Si, si.
Sinon, au premier, a priori, tout va bien.
15 h 30.
Il y a embouteillage à l’entrée du site, boulevard De-Gaulle, en raison des fouilles particulièrement rigoureuses. «
Pour gagner du temps, ouvrez vos sacs et enlevez les bouchons des bouteilles
» claironne-t-on par mégaphone.
Ce matin, nous sommes passés au camping, très boueux, mais diablement enjoué et facétieux.
C’est ainsi qu’on a croisé ce qui semble être une voiture sous un tas d’herbe. Le conducteur devrait être content.