Euro 2016 en direct , l’Italie ouvre le score contre la Belgique

Euro 2016 en direct , l'Italie ouvre le score contre la Belgique

Pellé est donc sorti de sa retraite Ca lui fait quel age, maintenant JohnLondonà 21:43C’est vrai que ça fait toujours étrange d’entendre « frappe de Pellé ». Mais celui-ci prend deux L, bien qu’il soit plutôt moins rapide sur le terrain, et n’a rien de Brésilien. Voici le gaillard, qui joue à Southampton en Premier League. Dans la même veine, les amateurs de biathlon pourraient être étonnés d’entendre le commentateur évoquer un « tir de Eder ». Attention : il ne s’agit pas là de l’arrivée sur le pas de tir de l’Autrichien Simon Eder, l’un des rivaux de Martin Fourcade, mais de l’attaquant italien d’origine brésilienne évoluant à l’Inter Milan. Ou, dans le contexte d’un match du Portugal, de l’attaquant portugais de Lille.

J’espère vous avoir Eder un peu.

C’est la mi-temps à Lyon ! L’Italie mène donc 1-0 assez tranquillement, la Belgique parviendra-t-elle à forcer le verrou

Les Belges se heurtent à une défense italienne bien en place. Alors Hazard tente un exploit individuel mais, après avoir éliminé un, puis deux joueurs italiens, se fait reprendre par la patrouille au milieu de terrain.

Après avoir vécu l’enfer, les Diables rouges se (re)montrent, Kévin De Bruyne déclenche un tir dans la surface italienne, qui était cadré mais est contré par la défense.

Les graphiques de passes réussies et ratées : un pont entre le football et l’art contemporain.

Vous avez sans doute voulu conjurer la pluie avec des grigris, mais Kevin s’appelle de Bruyne et pas de Buyne (colonne de gauche)Ca bruine’à 21:34

En effet, sous l’eau que nous étions, une coquille s’était ainsi glissée. Merci, c’est corrigé 🙂

Les Italiens sont chauds bouillants, Parolo passe de la tête à Pellé, qui reprend lui aussi de la tête, ça passe juste à côté du but de Courtois !

Appel en profondeur, belle passe longue de Bonucci, contrôle pied gauche dans la surface, frappe plat du pied droit : superbe.

BUUUUUUUUT pour l’Italie, par Giaccherini !!

Le look de Laurent Ciman rappelle de vieux souvenirs à notre correspondant à Lyon. Je vous laisse juges.

Les statistiques le confirment : 57 % de possession de balle belge actuellement.

Peut on dire qu’actuellement les belges jouent comme des patates’Sharraà 21:28

Au contraire, je dirais qu’ils ont plutôt la frite en ce moment et que les Italiens s’empâtent.

Beaucoup de remarques sur la tenue de l’équipe belge. Il est vrai que la Belgique et son sponsor que nous ne citerons pas ont atteint un niveau de laideur rarement atteint par les sélections nationales, même si l’on se souvient de ces maillots de la Slovénie ou du Nigeria (de belles équipes, pourtant).Et en même temps, on ne peut pas reprocher aux Belges de ne pas respecter les couleurs de leur drapeau national.

Le ballon est finalement facilement dégagé par les Italiens.

Les Belges sont entreprenants et s’installent dans le camp italien ! Une frappe déviée leur donne un corner.

Ballon mal renvoyé dans la défense italienne, Nainggolan décoche une belle frappe à plus de vingt mètres, qui passe finalement à droite des buts de Buffon.

Après un premier quart d’heure intense notamment du côté des Italiens l’intensité de jeu retombe maintenant.

Dès qu’il touche le ballon, Hazard est entouré de trois Italiens. Il lui faudra forcer le destin.

Après avoir récupéré le ballon dans leur moitié de terrain, les Belges amorcent une contre-attaque dangereuse mais Lukaku ne parvient pas à centrer pour Hazard.

Rien à voir avec Belgique-Italie, qui suit son cours, mais les supporteurs nord-irlandais s’éclatent pas mal dans les rues de Nice. Pourquoi un crocodile gonflable Et pourquoi pas

Les Belges ont réussi à remettre le pied sur le ballon mais ont du mal à entrer dans le camp italien.

Un vieux souvenir du football italien.

Superbe frappe lointaine (et cadrée) des Belges ! Par Nainggolan. Buffon détourne en corner, qui ne donne rien.

Clairement, pour le moment la possession de balle est italienne.

Ca joue au ballon côté italien avec un bel enchaînement de passes en l’air (et les contrôles qui vont bien). Bon, d’accord, ça ne donne rien ensuite, mais on remarquera l’effort.

Eder se fait rappeler à l’ordre après une méchante semelle sur Vermaelen ; la prochaine fois, c’est le carton.

Nous lisons vos mauvais jeux de mots sur Gianluigi Buffon. Ne comptez pas sur nous pour les publier. Respectez-vous. Et respectez la légende.  Tenez, pour la peine, un portrait intéressant et politique de ce gardien très patriote, sur FranceTV Info.

Les Italiens font déjà le siège de la défense belge, avec un premier tir (par Eder), cadré bien que peu dangereux.

Jean-Michel Aulas découvrant ses locataires du soir.

« Et c’est parti ! », comme dirait Nadiya. (sorry for this terrible référence, comme aurait pu dire Frédéric Thiriez)

Ce duel belgo-italien sera arbitré par des Britanniques, dirigés par Mark Clattenburg.

C’est l’heure des hymnes. Les vrais, cette fois.

Notre correspondant Anthony Hernandez a passé la journée en ville, à Lyon, et a apprécié. Non seulement parce qu’il est Lyonnais mais aussi parce que l’ambiance était tout à fait sympathique : 

Loin des images de violence du week-end à Marseille, les supporteurs de la Belgique ont offert un spectacle nettement plus chaleureux que certains de leurs homologues anglais ou russes. A deux pas de la place de Bellecour, où se situe la fan-zone, ils ont enchaîné les chants sous la pluie et même tenté de rallier les locaux aux cris de « Allez Lyon, chante avec nous ». Le véhicule blindé du Raid avait droit à sa haie d’honneur en fendant la foule amassée sur le bitume.

De rares Italiens se mêlaient confraternellement à leurs nombreux adversaires. Pour tenter de tromper l’ennemi et paraître plus fort, un couple de Tifosi a rusé en faisant endosser un maillot de la Squadra Azzura à son rottweiler. Les Belges, taquins, entamaient quelques refrains lancinants bien connus dans la botte, notamment leTi amo d’Umberto Tozzi. « Où sont les Italiens Bah carrément, on les a mangés », chambrait un gars de Namur. Hellboys, Diaboulets, Hellboys, Red Devils et bien d’autres, les groupes de fans sont venus de toute la Belgique. Les soixante-dix « diaboulets » liégois ont investi tout un hôtel du centre-ville. « C’est une invasion. Et nous allons rester un mois Madame ! », se se vit rétorquer une passante interloquée par cette présence en force. »  

Le Québec s’interroge : le match est a Lyon, bien, mais au Stade de Gerland ou au stade des Lumières’Charles2goalà 20:45 Un joli pseudo pour une belle province. Sachez, Charles, que le stade de Gerland a malheureusement été laissé à l’abandon mais qu’on ne parle pas pour autant de stade des Lumières, en dépit de la volonté de la municipalité lyonnais (alors que le stade se trouve en banlieue, à Décines). La dénomination la plus répandue, en attendant que l’Olympique lyonnais cède le nom de son stade à une vulgaire multinationale, est le « Parc OL ». Notez enfin qu’il ne s’agit pas d’un stade mais, pour reprendre le vocable du président de l’Olympique lyonnais Jean-Michel Aulas, d’un « outil » (pour gagner plus d’argent en recettes de billetterie). 

Les deux équipes se sont rencontrées en match amical en novembre ; la Belgique l’avait emporté 3-1.

Ah ça fait longtemps qu’on a pas vu du foot. Ca fait plaisir. On aime bien le foot nous. Ce soir il y a une équipe de foot et l’équipe d’Italie en face.

Bonjour et bienvenue dans ce direct consacré à Belgique-Italie, deuxième match de la première journée du groupe E !

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