À Dunkerque le One Direction Harry Styles a fait pleurer ses fans , pas sympa dirty Harry

À Dunkerque le One Direction Harry Styles a fait pleurer ses fans , pas sympa dirty Harry

Elles n’étaient pas très nombreuses, une quinzaine tout au plus. Le regard tourné dans une seule direction, celle d’une vieille porte coulissante défraîchie. Depuis ce lundi matin et la publication de tweets annonçant la présence d’Harry Styles à Dunkerque pour le tournage de Dunkirk, le prochain film de Christopher Nolan qui débutera dans une semaine, les fans du chanteur se rêvant acteur s’étaient mises en quête «
d’un autographe, d’un bisou, un câlin, un regard…
» Enhardies par l’expérience bienheureuse de quelques unes de leurs congénères qui, quelques minutes plus tôt, auraient eu l’insigne honneur de le prendre en photo devant l’hôtel Borel, elles avaient décidé de « planquer » devant cet antique bâtiment.

Avec son garde du corps…

À proximité, une grosse Mercedes immatriculée en Angleterre, quelques vans noirs aux vitres teintées. Surtout, elles avaient remarqué «
le garde du corps d’Harry, celui que l’on voit sur toutes les photos.
» Sûr, il était là… Dans ce lieu peu glamour il était venu faire des essais de costumes, rien qui ne nécessite un état de concentration maximal, un besoin de solitude extrême. «
On a vu des filles qui l’ont vu devant l’hôtel. Elles ont dit qu’il avait été sympa.
» Oui, mais ça c’était avant.

Les fans tentent d’arrêter (pacifiquement) la voiture d’Harry

Elles allaient vite l’apprendre à leurs dépens. Quand le rideau de fer s’est entrouvert une première fois pour laisser entrer la Mercedes en marche arrière, on a senti les sourires se figer. « C’est pas grave, on va se mettre devant pour empêcher la voiture de partir
», s’enhardit ce bataillon de jeunes filles en fleurs. La résolution n’allait pas résister à l’avancée de la calandre… Derrière sa vitre teintée, emmitouflé dans la capuche de son sweat-shirt, Harry Styles n’eut aucun regard pour ses admiratrices qui, pour certaines, finirent en pleurs…

Un chagrin aussi sincère qu’éphémère. Comme ceux éprouvés par leurs mamans ou leurs grandes s’urs, ex-fans des Tokyo Hotel, Worlds Apart ou To be three.. Aujourd’hui elles sourient…

Christopher Nolan au travail

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