Macron Fillon Hamon… Suivez l’actualité politique en direct

Macron Fillon Hamon... Suivez l'actualité politique en direct

Pierre Larrouturou dépose malgré tout sa candidature

Il fait partie des « recalés » de la primaire, après l’annonce fait hier par Jean-Christophe Cambadélis que les dernières candidatures ne seront pas retenues. Pierre Larrouturou, fondateur de Nouvelle Donne, a malgré tout déposé sa candidature à la Haute autorité de la primaire de la gauche, cet après-midi, dans l’espoir que celle-ci « réfléchisse et revienne sur cette décision ». 

Manuel Valls dit son ‘ »horreur » après les propos de Marine Le Pen sur le refus de scolariser certains enfants étrangers

L’ancien premier ministre et candidat à la primaire de la gauche a réagi sur BFM-TV aux propos tenus la veille par la présidente du Front national :

C’est une horreur ce que dit Marine Le Pen. Ce n’est pas uniquement que c’est contraire à notre Constitution, c’est une vision de la société. Le projet de Marine Le Pen et de l’extrême droite, c’est l’affrontement entre les citoyens. J’en ai assez de tous ces discours qui stigmatisent là nos compatriotes musulmans, là les réfugiés qui fuient la guerre (…) et ici les étrangers, les immigrés.

Vous pouvez lire notre article sur le sujet :

La députée Sylvie Andrieux démissionne de l’Assemblée après sa condamnation

La députée de Marseille Sylvie Andrieux, exclue du PS, a démissionné de l’Assemblée après sa condamnation, devenue définitive début novembre, pour avoir distribué des fonds à des associations fictives alors qu’elle était conseillère régionale. L’information est parue ce vendredi au Journal officiel. Son siège restera vacant jusqu’à la fin de la législature.

Cour de cassation : Fillon dénonce « l’amateurisme du gouvernement Valls » 

François Fillon dénonce dans un communiqué « l’inconscience ou l’amateurisme du gouvernement Valls », dont la réforme du contrôle des services judiciaires aboutit à « rompre les équilibres institutionnels », vendredi dans un communiqué. Il fait référence à une réforme, dont la Cour de cassation s’est émue cette semaine, qui réunit en une seule « inspection générale de la justice » les trois services d’inspection qui coexistaient jusqu’ici  pour les services judiciaires, l’administration pénitentiaire et la protection judiciaire de la jeunesse.

A la veille de quitter ses fonctions, le premier ministre Manuel Valls a signé à la hâte, le 5 décembre 2016, un décret créant une inspection générale de la justice placée sous la tutelle de l’exécutif. Si cette initiative répond pour partie à des besoins de simplification, elle ouvre de manière irresponsable et inquiétante, une crise inédite dans le fonctionnement démocratique de nos institutions, en ce que, aux antipodes des traditions républicaines, elle étend pour la première fois, à la Cour de cassation, le contrôle des inspecteurs.

« Aucune cour suprême européenne n’est soumise au contrôle d’un organe placé auprès de l’exécutif. Aucun dialogue n’a eu lieu à ce sujet avec les chefs de cette Haute juridiction qui, semble-t-il, n’ont pas même obtenu après coup un rendez-vous », poursuit M. Fillon.

Les nouveaux clivages politiques

Economie, sujets de société, identité, Europe’ Les proximités idéologiques entre candidats bousculent de plus en plus souvent le traditionnel axe « gauche-droite ». Les Décodeurs ont recensé les positions de dix-neuf personnalités politiques sur huit thématiques pour tenter de mettre en évidence cette complexité. 

Thierry Mandon sur Emmanuel Macron : « On ne peut pas hacker la vie politique »

Le secrétaire d’Etat à l’enseignement supérieur a critiqué sur LCI le manque de « cohérence » d’Emmanuel Macron. « Il manque l’histoire », a-t-il jugé :

La politique, ce n’est pas de l’actualité, c’est de l’histoire (…), des références, des valeurs, des principes dans lesquels les citoyens peuvent se reconnaître,(…). Et je n’arrive pas à voir à quelle histoire politique du pays il appartient. Or je ne crois pas qu’on puisse hacker la vie politique. Qu’on puisse arriver comme ça et s’asseoir sur des dizaines ou des centaines d’années d’histoire politique pour proposer un programme radicalement nouveau.

Benoît Hamon a déposé sa candidature pour la primaire de la gauche 

Le candidat, situé à la gauche du PS, a déposé ses parrainages ce matin. Il est le quatrième à le faire, après Arnaud Montebourg, François de Rugy et Jean-Luc Bennahmias. Le dépôt de candidatures est ouvert jusqu’au 15 décembre. 

Macron propose de supprimer les départements dans les zones les plus urbanisées

Autre proposition développée par l’ex-ministre de l’économie sur Public Sénat : la suppression des départements dans les zones « les plus urbanisées et structurées par des métropoles ». L’échelon du département serait en revanche maintenu dans les zones plus rurales, car « c’est un acteur qui structure le territoire ».

« Je souhaite qu’on ait des organisations multiples selon le territoire », a plaidé M. Macron. 

Bonjour,

en effet, Emmanuel Macron propose d’augmenter la CSG d’1,7 point, mais « en préservant de cette augmentation les retraités les plus modestes ».40 % des retraités ne seront ainsi « pas touchés ». Cette hausse de la CSG permettrait de compenser la suppression des cotisations maladie et chômage payées par le salarié, que M. Macron appelle de ses v’ux.

1,7 million de téléspectateurs devant Benoît Hamon sur France 2

Vous êtes nombreux ce matin à lire notre article sur le passage de Benoît Hamon sur France 2 hier soir. Mais la prestation de l’ancien ministre, candidat à la primaire de la gauche, n’a été suivie que par 1,7 million de personnes (soit 8% de part d’audiences). L’Emission politique est loin derrière la série Profilages sur TF1 (5,7 millions de téléspectateurs) et le film Dialogue avec mon jardinier sur France 3 (2,8 millions de téléspectateurs).

Par comparaison, voici les audiences des précédentes éditions de L’Emission politique :

Nicolas Sarkozy (15 septembre) : 2,7 millions de téléspectateurs, 12,6 % de parts d’audience

Arnaud Montebourg (22 septembre): 1,9 million, 8,9 %

Alain Juppé (6 octobre) : 2,7 millions, 13,2 %

Bruno Le Maire (20 octobre) : 1,8 million, 8,4 %

François Fillon ( 27 octobre) : 2 millions, 9,4 %

Bonjour,

les règles de la primaire de la gauche sont fixées par un comité d’organisation ad hoc, présidé par le député PS Christophe Borgel. Pour être candidat, une personne doit : 

réunir les parrainages de 5 % de l’un des groupes suivants : membres titulaires du conseil national du PS; parlementaires socialistes; conseillers régionaux et départementaux socialistes représentant au moins quatre régions et dix départements; maires socialistes de villes de plus de 10 000 habitants représentant au moins quatre régions et dix départements. signer une « charte d’éthique » fixant les règles de conduite durant la campagne, ainsi qu’une déclaration d’engagement sur le rassemblement des candidats à l’issue du scrutin.Mais le PS ne veut pas d’une multiplication des candidatures. Jeudi, le premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis a souligné que la primaire « ce n’est pas open bar ». Il a balayé les candidatures de Pierre Larrouturou (Nouvelle Donne), de Bastien Faudot (Mouvement républicain citoyen) et de Sébastien Nadot (Mouvement des progressistes).

Manuel Valls demande à nouveau à Emmanuel Macron de participer à la primaire

Malgré les paroles fermes de l’ancien ministre de l’économie sur son refus de se présenter via la primaire de la gauche, Manuel Valls « demande » à Emmanuel Macron de participer à ce scrutin. « Il a encore quelques jours pour réfléchir », a souligné l’ancien chef du gouvernement sur BFMTV, les candidatures pouvant être déposées jusqu’au 15 décembre.

« Une primaire, c’est une manière de faire valoir ses idées, son projet, sa personnalité », a lancé M. Valls

L’appel de Cambadélis à un débat avec Macron et Mélenchon « Ridicule » pour l’ex-ministre

C’est un peu ridicule. Le débat que les Français attendent, c’est un débat sur le pays,  sur les défis du pays, sur leur quotidien. Ca, c’est de la mascarade. On ne va pas faire un débat public sur la primaire ! 

« Cette primaire n’a pas le bon périmètre, pas le bon calendrier, pas les bonnes modalités », a expliqué M. Macron, qui ne souhaite pas participer à ce scrutin. L’ancien ministre a rejeté les accusations de division de la gauche que ferait peser sa candidature autonome. « Qu’ils ne me mettent pas sur le dos leurs divisions et leurs échecs », a-t-il lancé au sujet des socialistes.

Benoît Hamon déroule ses propositions dans « L’Emission politique »

Le candidat à la primaire de la gauche était l’invité hier soir de l’émission de France 2. Voilà ce qui faut retenir de son passage :

Pour commencer, un petit coup d »il sur ce qui s’est passé hier :

Bonjour, et bienvenue dans ce direct consacré à l’actualité politique de ce vendredi 9 décembre.

N’hésitez pas à poser vos questions dans les commentaires ou partager vos réflexions dans les commentaires !

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